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Yvette PÉLISSIÉ, alias Yvette FRONTENAC 1925-1998 Fouille Description courte Originaire d’un milieu modeste de paysans du Lot, Yvette grandit à Frontenac. Très tôt, elle se passionne pour la littérature, mais arrête les études à 13 ans pour aider ses parents. Elle se marie jeune par amour durant la guerre. Un éloignement de son Lot natal entre 1951 et 1957, la persuade de se lancer à l’écriture. Rentrée à Frontenac, elle écrira de manière prolifique durant plus de trois décennies. De ses premiers poèmes publiés vers 1960, ses romans attendront eux le début des années 90. Tous concernent la ruralité. Yvette décède en 1998 à Frontenac, dont elle avait pris le pseudonyme. Description Yvette Denise PÉLISSIÉ naît le 17 janvier 1925 à Frontenac. Issu d’un milieu modeste et rural, ses ancêtres sont cultivateurs ou artisans, tous originaires du Lot. Elle naît et grandît à Frontenac chez sa grand mère, dans une maison proche de l’Église Saint Jean Baptiste. Cette dernière, veuve depuis 1914, s’était installée avec l’instituteur du village, qui lui légua sa bibliothèque. C’est dès le plus jeune âge alors qu’Yvette fût confrontée à la littérature, et peut être là qu’est né sa passion.Jeune, elle a du mal à être assidu en cours, car elle s’occupe de la ferme avec son père. Il lui apprend les saisons et la nature, dont elle parlera si souvent dans ses romans. Entre 1936 et 1939, elle habite Espeyroux avec ses parents. Le village lui inspira des années plus tard, son premier roman «Les années châtaignes» publié en 1991 et qui obtiendra le premier prix de l’Académie du Languedoc en 1993. Malgré son certificat d’études en poche, Yvette renonce à des études pour continuer à aider ses parents à la ferme.Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle reste un temps à Frontenac et se marie. Le village est alors animé par l’institutrice, qui se charge d’organiser spectacles et sorties à Figeac pour pallier la tristesse de la guerre. Avec son mari, ils s’installent un temps à Toulouse, avant de retourner à Frontenac en 1946 suite au décès du père d’Yvette. Les six années de guerre et d’exodes de réfugiés dans son village lui souffleront son deuxième livre «Les années chantepleure», publié en 1992.Un éloignement de 6 ans dans le Loiret entre 1951 et 1957, pousse enfin Yvette à l’écriture, des poèmes d’abord, parlant de son Lot natal et de ses traditions. Rentrée dans son département de cœur, elle publie d’autres poèmes écrits dès la fin des années 50. En parallèle, elle commence la rédaction de ses romans, tels que «Rue des Nèfles», inspiré de ses années de vie à Figeac entre 1965 et 1970. Continuant à écrire jusqu’en 1998, elle décède le 23 novembre 1998 dans son village.Auteur : Union Généalogique d'Occitanie Historique En savoir plus Média Localisation Localisation