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Les collections scientifiques du lycée P. de Fermat Image Les collections scientifiques du lycée P. de Fermat Résumé L'hôtel de Bernuy, actuellement lycée Pierre de Fermat, a été construit par un riche marchand pastelier dans la première moitié du 16e siècle. Le lycée abrite une remarquable collection d'objets scientifiques destinés à l'enseignement.
Tautavel, un nouveau musée en projet Image Tautavel, un nouveau musée en projet Résumé Un nouveau musée Tautavel à la hauteur de son histoire et de ses collections.
Patrimoines du Sud n°18 Image Patrimoines du Sud n°18 Résumé La peinture monumentale en Occitanie du Moyen Âge à nos jours.Actes du colloque tenu à Toulouse du 28 au 30 septembre 2022, organisé par le Groupe de recherches sur la peinture murale (GRPM) et la Région Occitanie.
Marie Louise DISSARD 1881-1957 Fouille Description courte Marie-Louise nait le 5 novembre 1881. D’un père professeur et d’une mère modiste, elle est d’abord maitresse pour jeunes filles avant d’ouvrir un magasin de vêtements à Toulouse. Au déclenchement de la Second Guerre elle rejoint la Résistance, utilisant sa boutique comme couverture. A partir de 1942, sous le nom de Françoise, elle rejoint un réseau d’évasion de soldats britanniques, démasqué dès 1943. Femme forte, elle convainc les autorités britanniques de relancer le réseau, qui prend alors son nom de résistante, et en devient la responsable. Pour ces actions durant la guerre, elle est 7 fois décorée. Description Marie-Louise naît à Cahors le 5 novembre 1881. Ces origines sont modestes, de petits cultivateurs originaires du Lot et du Puy-de-Dôme. Elle grandit à Cahors, où son père est professeur au pensionnat des Carmes et sa mère tient un magasin de chapeaux. Suivant d’abord la trajectoire paternelle, elle exerce à Carcassonne comme maitresse d’internat, puis à Toulouse dans des pensionnats pour jeunes filles. Finalement elle décide de suivre la voie maternelle en ouvrant un magasin pour femmes à Toulouse.Mais c’est durant la Seconde Guerre mondiale que Marie-Louise s’illustre en oeuvrant pour la Résistance. Elle rejoint alors un premier réseau toulousain, sous le surnom de Victoire, où elle profite de sa boutique pour dissimuler et transmettre lettres et colis de résistants. Mais le réseau est démasqué en 1941, à l’exception de quelques membres dont Marie-Louise. En 1942 elle rejoint le réseau Pat O’Leary, sous le pseudonyme de Françoise, en référence sans doute à sa grand-mère maternelle décédée avec qui elle a grandi à Cahors.Ce second réseau est destiné au rapatriement clandestin de soldats britanniques bloqués en France. Durant sa période d’activité entre 1941 et 1943, il permet à plus de 650 militaires, dont principalement des aviateurs alliés de quitter la France pour rejoindre la Grande-Bretagne. Le réseau bénéficie aussi grâce à Françoise, et à l’insu des autorités britanniques qui le commande et le finance, aux résistants français devant quitter le territoire français.Suite à l’arrestation de la plupart de ses membres en 1943, les évasions cessent, avant de reprendre sous l’impulsion de Marie-Louise. Désormais à la tête du réseau Françoise, et de ses 200 membres, Marie-Louise maintient les évasions jusqu’à la Libération en 1944, permettant à plus d’une centaine de britanniques supplémentaires de rentrer chez eux. Médaillée plus de 7 fois des ordres de plusieurs pays, elle crée en 1956 à Toulouse, quelques mois avant son décès, un centre d’apprentissage pour filles, aujourd’hui Lycée Françoise.Auteur : Union Généalogique d'Occitanie Historique En savoir plus Média Localisation Localisation